Kraken acquiert le plus ancien courtier en crypto-monnaies des Pays-Bas pour étendre sa présence aux Pays-Bas
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- Kraken s'est étendu aux Pays-Bas via une nouvelle acquisition.
- Cette opération fait partie des plans d’expansion européenne de Kraken.
- Cette acquisition intervient avant la mise en œuvre du cadre MiCA.
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L’échange de crypto-monnaie Kraken étend sa présence aux Pays-Bas en acquérant le plus ancien courtier en crypto-monnaie enregistré du pays.
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L’acquisition, annoncée le 24 septembre, permet à Kraken de renforcer sa position sur le marché néerlandais et d’opérer avec des licences de fournisseur de services d’actifs virtuels (VASP) en France et en Pologne.
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Coin Meester, également connu sous le nom de BCM, est l’une des sociétés de cryptographie les plus établies des Pays-Bas et est également la plus ancienne.
Au cours des prochains mois, les clients de BCM devraient avoir accès à plus de 200 crypto-monnaies proposées par Kraken, ainsi qu’à la liquidité de la plateforme, aux normes de sécurité de premier ordre et à l’assistance en langue locale 24 heures sur 24, ajoute l’annonce.
Cette décision s’inscrit dans le cadre des efforts plus vastes de Kraken visant à étendre sa présence européenne.
Selon Brian Grahan, directeur général de Kraken pour l’Europe, cette acquisition constitue une étape clé dans leur stratégie d’expansion.
Il a ajouté que Kraken est l’une des rares bourses européennes capables de combiner une « offre conforme » avec une échelle mondiale, offrant ainsi à ses clients de meilleures opportunités de trading et d’investissement.
Entre-temps, Kraken est le troisième échange de crypto-monnaies des Pays-Bas à s’implanter dans le pays cette année. En juin, OKX a annoncé le lancement de son échange centralisé et d’un portefeuille Web3 dans le pays. Avant cela, l’échange de crypto-monnaies ByBit avait reçu le feu vert pour desservir les Pays-Bas.
L’acquisition de BCM par Kraken intervient juste avant l’entrée en vigueur complète du cadre réglementaire des marchés d’actifs cryptographiques (MiCA) de l’Union européenne, prévue pour le 30 décembre.
MiCA, qui a été introduit pour la première fois en mai 2023, vise à mettre en place un environnement réglementaire complet pour l’industrie de la cryptographie à travers l’Europe, en mettant l’accent sur la protection des investisseurs et la prévention des manipulations de marché.
Plus précisément, le cadre impose des règles strictes sur l’utilisation des stablecoins, y compris des limites sur les stablecoins non libellés en euros utilisés pour des transactions dépassant 200 millions d’euros ou plus d’un million de transactions quotidiennes.
Kraken a accéléré son expansion à travers l’Europe au cours des deux dernières années pour s’adapter à l’évolution du paysage réglementaire.
La bourse détient actuellement des licences VASP directement ou via des partenariats sur des marchés majeurs tels que l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la Belgique, l’Irlande et les Pays-Bas.
Des problèmes juridiques suivent Kraken
Copy link to sectionMalgré son succès croissant en Europe, Kraken a été confronté à des obstacles réglementaires dans d’autres parties du monde.
En Australie, la société est impliquée dans une bataille juridique avec la Commission australienne des valeurs mobilières et des investissements (ASIC).
Le différend, qui a débuté l’année dernière, porte sur des allégations selon lesquelles la filiale de Kraken, Bit Trade, n’aurait pas respecté les obligations de conception et de distribution (DDO) en vertu de la loi sur les sociétés.
L’ASIC a affirmé que le produit de trading sur marge fiduciaire de Kraken fonctionnait sans autorisation appropriée, car il permettait aux utilisateurs d’accéder au crédit sans répondre aux exigences légales.
Fin août, la Cour fédérale a statué contre Bit Trade, estimant qu’elle avait violé l’article 994B(2) de la Loi sur les sociétés.
Suite à cette décision, la société a dû procéder à des ajustements pour garantir que ses services de trading sur marge répondent aux normes réglementaires en vigueur en Australie.
Cet article a été traduit de l'anglais à l'aide d'outils d'intelligence artificielle, puis relu et corrigé par un traducteur local.
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