The ugly truth about home renovations: debt, regret, and DIY disasters

La triste vérité sur les rénovations domiciliaires : dettes, regrets et désastres du bricolage

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Written on Nov 5, 2024
Reading time 5 minutes
  • 74% of homeowners have regrets about their renovations.
  • Two-thirds of homeowners went into debt to fund renovations.
  • Nearly 80% of homeowners exceeded their renovation budget.

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Dans un contexte de hausse des coûts de l’immobilier, les rénovations sont de plus en plus populaires, mais une nouvelle étude révèle une tendance financière inquiétante : une majorité de propriétaires s’endettent pour des rénovations qu’ils regrettent plus tard.

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L’enquête de Clever Real Estate auprès de 1 000 propriétaires met en évidence la prévalence des dépassements de budget, des tensions financières et, en fin de compte, de l’insatisfaction à l’égard des résultats.

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L’augmentation du coût des rénovations domiciliaires

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Les prix élevés de l’immobilier et les taux hypothécaires décourageant les déménagements, de nombreux propriétaires choisissent de rénover.

Clever Real Estate a constaté que plus de 60 % des personnes interrogées préfèrent rénover plutôt que déménager.

Cette tendance alimente une augmentation des dépenses en matière de rénovation résidentielle, 40 % des propriétaires prévoyant d’investir 10 000 $ ou plus en 2025.

Mais cette ambition se heurte souvent à la réalité.

Près de 80 % des propriétaires ont dépassé leur budget lors de leur dernière rénovation, et deux tiers d’entre eux ont contracté des dettes pour financer ces projets.

Cette année, 45 % des propriétaires ont dépensé 5 000 $ ou plus en rénovations, et 36 % ont dépassé 10 000 $.

Près de la moitié (44 %) prévoient de dépenser encore plus cette année par rapport à l’année dernière.

L’enquête révèle que les dépassements budgétaires sont généralisés, plus des trois quarts des propriétaires en étant victimes.

Pour près de la moitié d’entre eux, les dépenses excessives s’élevaient à au moins 5 000 $, et 35 % ont dépassé leur budget de 10 000 $ ou plus.

Face à ces coûts croissants, 32 % des propriétaires ont interrompu prématurément leurs projets, tandis que 63 % ont eu recours à l’emprunt, faisant souvent face à des conséquences financières comme des difficultés à payer leurs factures de carte de crédit (36 %).

L’attrait du DIY et le risque du regret

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L’enquête révèle une forte éthique du bricolage, avec 94 % des propriétaires ayant entrepris des rénovations majeures et 93 % s’attaquant à des rénovations mineures au cours des cinq dernières années.

Les rénovations majeures les plus populaires comprenaient la rénovation de la salle de bain (37 %), la peinture intérieure (33 %) et les améliorations du CVC (30 %).

Geoffrey Hoffman, agent immobilier basé à Cleveland, a déclaré à l’Associated Press que sur les marchés où les maisons sont anciennes, l’ajout de la climatisation centrale offre un fort retour sur investissement tout en améliorant le confort du propriétaire.

Les rénovations mineures courantes comprenaient le remplacement de robinets (36 %), de nouveaux luminaires (35 %) et des rénovations mineures de la cuisine (34 %).

Paradoxalement, certaines rénovations mineures offrent un meilleur rapport qualité-prix que les rénovations majeures.

Les données suggèrent que les rénovations mineures de cuisine récupèrent environ 96 % de leur coût lors de la revente, tandis que les rénovations majeures de cuisine ne récupèrent généralement que 38 %.

De même, les améliorations apportées aux portes de garage offrent un retour sur investissement presque deux fois plus élevé, mais seulement 19 % des propriétaires ont entrepris ce projet ces dernières années.

Alors que 92 % des propriétaires ont signalé des impacts positifs suite à leurs rénovations, 74 % d’entre eux ont exprimé des regrets.

Les dépenses excessives (24 %) et les délais de projet trop longs (22 %) étaient les plaintes les plus courantes.

De plus, près de la moitié des rénovateurs préféraient leur maison avant les rénovations, les jeunes générations (millennials et génération Z) étant nettement plus susceptibles d’éprouver des regrets (82 % et 89 % respectivement) par rapport aux baby-boomers (51 %).

Le dilemme du bricolage : économiser de l’argent ou perdre de la valeur

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Le désir d’économiser de l’argent pousse de nombreux propriétaires à se lancer dans des projets de bricolage.

Les choix populaires incluent la peinture intérieure (62 %), l’installation de luminaires (61 %) et l’étanchéité/la teinture des terrasses (59 %).

Un nombre surprenant de personnes ont exprimé leur volonté de s’attaquer à des projets complexes comme le remplacement de toitures, des travaux électriques, des ajouts et des améliorations de plomberie.

Cependant, cette approche visant à réduire les coûts peut s’avérer contre-productive.

Des rénovations mal exécutées peuvent diminuer la valeur d’une maison, comme le prévient Hoffman :

Le neuf n’est pas toujours mieux. Une vieille cuisine en bon état est meilleure qu’une cuisine neuve rénovée à moindre coût et installée avec un travail de mauvaise qualité.

Il souligne que les travaux de bricolage de mauvaise qualité et les choix de conception douteux sont souvent préjudiciables à la valeur de la maison.

Cet article a été traduit de l'anglais à l'aide d'outils d'intelligence artificielle, puis relu et corrigé par un traducteur local.

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