Prévisions des prix du Dow Jones, du S&P 500 et du Nasdaq après la baisse de la semaine dernière
- Sur la semaine, le Dow Jones s'est affaibli de -1 %, le S&P 500 de -1,82 % et le Nasdaq de -2,18 %.
- L'inflation des prix à la consommation a atteint un taux annuel de 7,5 % en janvier.
- Les tensions entre l'Ukraine et la Russie s'intensifient.
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Les principaux indices de Wall Street ont terminé en nette baisse vendredi, la possibilité d’une hausse plus prononcée des taux d’intérêt inquiétant les investisseurs tandis que les tensions entre l’Ukraine et la Russie s’intensifiaient.
Le Bureau américain des statistiques du travail a annoncé la semaine dernière que l’indice américain des prix à la consommation pour janvier avait atteint son plus haut niveau depuis février 1982, ce qui a soulevé des questions sur l’ampleur potentielle de la hausse des taux d’intérêt.
L’inflation des prix à la consommation a atteint un taux annuel de 7,5 % en janvier, et Morgan Stanley s’attend à ce que la Fed adopte un ton plus agressif pour lutter contre l’inflation.
La Réserve Fédérale américaine devrait répondre aux attentes du marché pour une hausse des taux de 25 points de base en mars, tandis que le président de la Fed, Jerome Powell, a déclaré qu’il y avait plus de place pour un nouveau resserrement de la politique sans nuire à l’emploi.
Vendredi, le département d’État américain a exhorté les Américains à quitter l’Ukraine alors que les tensions entre l’Ukraine et la Russie s’intensifiaient. Jay Hatfield, directeur des investissements chez Infrastructure Capital Management à New York, a déclaré :
Si l’Ukraine est attaquée, cela ajoute plus de crédibilité à notre point de vue selon lequel la Fed sera plus accommodante que ne le pense actuellement le marché, car la guerre rendrait les perspectives encore plus incertaines.
D’un autre côté, de nombreuses grandes entreprises ont publié de solides résultats trimestriels, et les investisseurs resteront également concentrés sur les rapports sur les résultats trimestriels, car de nombreuses entreprises n’ont pas encore publié leurs rapports.
La semaine prochaine, Arista Networks, Airbnb, Roblox Corporation, Upstart Holdings, Barrick Gold, The Kraft Heinz, Shopify, Cisco Systems, Palantir Technologies, Nvidia et Walmart font partie des entreprises qui doivent publier leurs résultats trimestriels.
Le S&P 500 est en baisse de -1,82 % sur une base hebdomadaire
Sur la semaine, le S&P 500 (SPX) a chuté de -1,82 % dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant l’inflation et les tensions entre l’Ukraine et la Russie.

Le S&P 500 a clôturé la semaine en dessous de 4 500 points, et si le prix tombe en dessous de 4 300 points, le prochain objectif pourrait être de 4 200 points.
Le potentiel de hausse reste limité pour la semaine à venir. Cependant, si le prix saute au-dessus de 4 550 points, le prochain objectif pourrait être de 4 600 points.
Le DJIA est en baisse de -1 % sur une base hebdomadaire
Le Dow Jones Industrial Average (DJIA) a chuté de -1 % sur la semaine pour clôturer à 34 738 points.

Le niveau de support actuel se situe à 34 500 points, et si le prix tombe en dessous de ce niveau, le prochain objectif pourrait être de 34 000 points.
Le Nasdaq Composite est en baisse de -2,18 % sur une base hebdomadaire
Le Nasdaq Composite (COMP) a perdu -2,18% sur une base hebdomadaire pour clôturer la semaine sous les 14 000 points.

Le niveau de support actuel se situe autour de 13 500 points, et si le prix tombe en dessous de ce niveau, ce serait un signal de « vente », et nous avons la voie ouverte vers 13 000 points.
Le potentiel de hausse reste limité pour la semaine à venir. Cependant, si le prix saute au-dessus de 14 500 points, le Nasdaq Composite pourrait à nouveau atteindre 15 000 points.
Résumé
Le Dow Jones, le S&P 500 et le Nasdaq ont terminé en forte baisse vendredi : la possibilité d’une hausse plus prononcée des taux d’intérêt a inquiété les investisseurs tandis que les tensions entre l’Ukraine et la Russie s’intensifiaient. Le Bureau américain des statistiques du travail a annoncé la semaine dernière que l’indice américain des prix à la consommation pour janvier avait atteint son plus haut niveau depuis février 1982, et que le potentiel de hausse restait limité pour la semaine à venir.
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