
Citigroup fait face à un procès amendé pour fraude présumée en matière de gestion des risques
- Le procès modifié affirme que le COO de Citigroup avait pour objectif de déclarer de manière erronée des mesures afin de tromper les régulateurs.
- De fausses déclarations auraient pu induire les actionnaires et le public en erreur, avec des conséquences juridiques importantes.
- Citigroup est confronté à des défis réglementaires constants, notamment une récente amende de 135,6 millions de dollars.
L’ancienne directrice générale de Citigroup, Kathleen Martin, a déposé une plainte modifiée contre la banque, alléguant une tromperie intentionnelle de la part de son directeur de l’exploitation, Anand Selva.
Martin affirme qu’elle a été licenciée pour avoir refusé d’induire en erreur un régulateur fédéral sur les pratiques de gestion des risques de la banque.
Le procès de Martin, déposé devant le tribunal fédéral de Manhattan, affirme que Selva avait pour objectif de fausser les données de Citigroup afin de tromper le Bureau du contrôleur de la monnaie (OCC).
Selon elle, cela visait à créer une illusion de respect d’un accord de règlement de 400 millions de dollars de 2020, qui traitait de diverses lacunes en matière de gestion des risques au sein de la banque.
Impact potentiel sur Citigroup et ses parties prenantes
Copy link to sectionLes allégations de Martin vont au-delà de la gestion interne de la banque, suggérant des implications plus larges. Elle affirme que de fausses déclarations auraient induit en erreur non seulement les régulateurs mais aussi les actionnaires et le public.
L’incapacité de déclarer avec précision aurait pu avoir des conséquences juridiques et financières importantes pour Citigroup, pouvant conduire à de nouvelles amendes importantes et nuire davantage à sa réputation.
La plainte modifiée met en évidence plusieurs cas de manquements à la conformité chez Citigroup.
Un exemple notable est l’amende de 135,6 millions de dollars imposée par l’OCC et la Réserve fédérale le 10 juillet, citant les progrès insuffisants de la banque dans la résolution des problèmes précédemment identifiés à partir de 2020.
Cette récente amende s’ajoute aux défis auxquels est confrontée la directrice générale Jane Fraser, qui s’efforce de rationaliser Citigroup et de rectifier ses défaillances réglementaires.
Réponse de Citigroup et procédures judiciaires à venir
Copy link to sectionCitigroup n’a pas encore fourni de commentaire officiel sur le procès modifié. La banque avait précédemment déclaré que Martin avait été licenciée en raison d’un manque de leadership et de compétences d’engagement nécessaires à son rôle de présidente par intérim de la transformation des données.
Citigroup a également réfuté les allégations de Martin, affirmant que même si elles étaient vraies, ses activités de dénonciation ne seraient pas protégées par la loi fédérale Sarbanes-Oxley sur la gouvernance.
La banque a jusqu’au 8 août pour répondre à la plainte modifiée. Citigroup avait initialement cherché à rejeter la plainte initiale de Martin le 27 juin.
Cependant, la loi fédérale permet au plaignant de modifier sa plainte une fois, ce qui donne à Martin l’occasion de renforcer sa cause.
Les défis réglementaires permanents de Citigroup
Copy link to sectionLes difficultés de Citigroup en matière de conformité réglementaire sont un problème récurrent. L’accord de règlement de 400 millions de dollars conclu par la banque en 2020 visait à remédier à une série de lacunes en matière de gestion des risques.
Malgré ses efforts pour se conformer, la banque a été confrontée à de nombreuses amendes, reflétant les difficultés persistantes à respecter les normes réglementaires.
La récente amende de 135,6 millions de dollars souligne les difficultés persistantes à réaliser des progrès suffisants.
Cette dernière sanction rappelle les enjeux importants liés à la conformité réglementaire et les conséquences potentielles d’un manquement.
Le chemin à parcourir pour Citigroup
Copy link to sectionAlors que Citigroup relève ce défi juridique, les implications pour son leadership, sa position réglementaire et sa santé financière restent incertaines.
L’issue du procès pourrait avoir des conséquences considérables, influençant à la fois les pratiques de gestion internes et les perceptions externes de l’engagement de la banque en matière de conformité réglementaire.
Pour la directrice générale Jane Fraser, l’accent reste mis sur la rationalisation de Citigroup et sur la résolution de ses problèmes réglementaires.
Le procès modifié ajoute un autre niveau de complexité à ces efforts, soulignant la tension persistante entre la conformité réglementaire et les décisions de gestion interne.
Cet article a été traduit de l'anglais à l'aide d'outils d'intelligence artificielle, puis relu et corrigé par un traducteur local.