Perspectives du cours de l’action Accel Entertainment : Macquarie voit une hausse à 17 $

Les actions d’Accel Entertainment Inc (NYSE : ACEL) ont augmenté de 33 % cette année, mais Macquarie Group dit avoir des raisons de croire que l’action est encore assez bon marché.

Jordan Bender relève son objectif de cours sur ACEL

Dans une note aux clients vendredi, Jordan Bender de Macquarie a amélioré Accel Entertainment à « surperformance » avec un objectif de prix de 17 $, ce qui se traduit par une hausse de 32 % comparé au cours actuel de l’action. Auparavant, l’analyste avait un objectif de cours de 15 $ sur l’action.

Le jeu distribué est resté fort face à la variante Delta plus tôt cette année, et Bender est convaincu qu’il peut répéter l’histoire au milieu des inquiétudes croissantes liées à la variante Omicron. Il considère ce secteur comme une valeur sûre pour les investisseurs intéressés par l’industrie du jeu en 2022. Il a écrit :

C’est la résilience des terminaux de jeux vidéo (VGT), en particulier pendant les périodes de restriction, qui aide à former notre thèse plus optimiste autour de l’ACEL.

Selon Bender, Accel a des fondamentaux stables, mais le titre est sous-estimé à 6,4 fois l’EBITDA estimé pour 2023, ce qui implique une marge de manœuvre importante dans les mois à venir.

Autres raisons pour lesquelles il est haussier sur le titre

D’autres raisons pour lesquelles il aime ACEL incluent son bilan solide, qui pourrait inciter à une expansion sur d’autres marchés, tels que la Géorgie, le Missouri et la Pennsylvanie. Le rachat d’actions de 200 millions $ récemment annoncé, a-t-il ajouté, pourrait également aider à la hausse du titre.

Bender s’attend à ce que les jeux distribués soient en demande même après la pandémie. Il a dit :

Après la réouverture de presque tous les secteurs, nous sommes devenus encore plus constructifs grâce au jeu distribué. Par exemple, le maintien de l’emplacement par jour a été jusqu’à 50 % supérieur aux niveaux de 2019 depuis avril 2021, et nous avons vu peu de preuves que les tendances reviennent aux niveaux d’avant le COVID.